Une certaine idée de la France...

Tribune libre – sans filtre – écrite au vitriol, annotée, et réactualisée en temps réel. Signée, David JEAN, blogueur engagé à dessein de révéler une « certaine idée de la France » : Vision – Républicaine – d'un État-Nation, à la fois riche et fier de ses racines Judéo-Chrétiennes, fort de ses traditions, ancré dans le Gaullisme Social – initié par le Colonel François de La Rocque et ses Croix-de-Feu dans le cadre du Parti Social Français, puis, incarné dans la Résistance et la Victoire par le Général De Gaulle, chef de la France Libre – aujourd'hui, en quête de la Renaissance du Nationalisme Chrétien : « Le XXIe siècle sera mystique ou ne sera pas » [Malraux]

"Génération Identitaire - Génération solidaire !" à nos frères abandonnés, opposons à la Fraternité déchue, la Solidarité Nationale

"Génération Identitaire - Génération solidaire !" à nos frères abandonnés, opposons à la Fraternité déchue, la Solidarité Nationale

   Nous – Daniel HENTZE & David JEAN – soutenons la campagne « Génération Identitaire – Génération Solidaire ! » [1]

       Nous nous devons de saluer l’action de ce mouvement de jeunesse [2 & 3] qui honore notre Nation de son courage et de sa solidarité :

La France peut compter sur ses enfants !

       Daniel HENTZE – ami personnel et co-fondateur de la Communauté du Gaullisme Identitaire – a vécu la cruelle expérience de la chute sociale puis de l’abandon dans l’enfer du métro Parisien. Aux cotés de Daniel HENTZE, se présenta le Général Jeannou LACAZE – ancien Chef d’Etat-Major des Armées – qui devint le Président d’honneur de l’association Paris Solidarité Métro [4] – PSM – dont Daniel est aussi le président, et dont l'objet était de venir en aide aux sans abris trouvant refuge dans le métro Parisien.

         Cette œuvre sociale sous le patronage du Général n’était pas dénuée de visée politique : dénoncer la gauche clanique qui s’octroyait fallacieusement le monopole du cœur [8]. Pour l'anecdote, Daniel fut ainsi le candidat éphémère à la présidentielle de 95, comme Coluche le fut en 81.

         Or, en ce 21 Décembre 2018, débute un nouvel hiver, sans domicile fixe, pour de nombreux concitoyens déchus de l’État-Providence. Une déchéance inexplicable pour tous ceux qui contribuent fortement aux finances de l’État-Nation, confère le taux d'impôts et de prélèvements sociaux obligatoires qui n'a jamais été aussi élevé auparavant. Alors que le service public recule, que le nombre de sans-abris et de mal logés ne cessent d'augmenter, que la couverture sociale ne cesse de se réduire au profit de mutuelles toujours plus onéreuses, on n'est ici en droit de s'interroger quant à la bonne gestion des finances publiques, d'où le fameux mouvement contestataire des Gilets Jaunes.

       Pis, et malgré ce précédent état de fait, le Macronisme veut quant à lui nous imposer une immigration massive sans condition – confère la signature en catimini du Pacte de Marrakech [10] – et se refusant par ailleurs à soumettre cette orientation politique à l'approbation démocratique de la Nation. Se pose alors le dualisme de la charité bien ordonnée. Car dans ce désordre, cet anarchisme des temps modernes, les sans abris du tiers monde se pressent en France pour quémander une aumône salutaire, sans apport initial, sans devoir patriotique, abusant ainsi de la solidarité nationale. Or, le Macronisme au service de visées politiques clandestines que sont "en même temps", le néolibéralisme, l'ultra gauche, et l'islamisme, dévoyant ainsi notre loyale hospitalité [11-a], au détriment de nos propres concitoyens déchus. Ces sans abris nationaux – "nationaux" parce qu'avant de tout perdre, ils ont, comme tout un chacun, contribués aux finances publiques se retrouvent relégués au second plan, concurrencés par l'accueil réservé aux clandestins [5].

       Désormais, nul n'est inconsciemment dupe de cette duplicité politicienne. Les clandestins, majoritairement des jeunes hommes qui ne renient en rien leurs racines tribales et leur vision archaïque de la société, ne viennent pas chez nous en paix et en recherche d'une civilisation idéalisée de grand secours. Ainsi la raison d'état qui voudrait quant à elle que l'on accueille avec bienveillance des gens, qui quant à eux, ne nous portent pas en leur cœur, se heurte, non sans raison, à la résistance de la Nation Française. Cette dernière, se rebelle et rejette cet afflux massif d'étrangers avides de ce à quoi ils n'ont jamais contribués, contrairement à ce que la France a fait pour eux, confère le sang versé de nos Morts pour la Patrie en Afghanistan, en Irak, en Libye, et bien ailleurs. Notre charité chrétienne bien ordonnée doit commencer prioritairement par ceux que nous ignorons lâchement et dont l'état se désintéresse. Pour ce qui est des étrangers ces derniers doivent être protégés en temps de guerre, puis renvoyés reconstruire leur pays et défendre ce dernier par les armes s'il le faut, comme nos anciens l'ont fait face aux pires totalitarismes [7]. Ils n'ont pas vocation à s'ajouter à la misère humaine à laquelle la France ne peut plus faire face, cette dernière étant au dessus de ses forces contributives et solidaires. A ce jour, la gauche Allemande a pris conscience de ce manège machiavélique qui profite à quelques libres penseurs [6] au détriment de la Nation. 

       Soutenir les nôtres ici en France, soutenir les autres là-bas, chez eux. Un titre de séjour temporaire et non une naturalisation pour ceux qui sont persécutés, et ils ne sont pas aussi nombreux qu'on veuille bien nous le dire. Soutien aux œuvres de charité sociale là où les problèmes existent  : L’Œuvre d’Orient, pour ne citer qu'eux. 

[1] Pour les nôtres qui passent l'hiver dans la rue : Génération Identitaire, Génération solidaire ! - Génération Identitaire - 21/12/2018

Selon l’Insee, la France compte 140 000 SDF. En 2017, 403 sans-abris sont morts dans la rue. Pourtant, certains trouvent un toit sans difficulté. En effet, l’État n’a pas hésité à acquérir une quarantaine d’hôtels Formule 1 pour les transformer en centres d’accueil pour migrants. Peu de temps après son élection, Macron avait d’ailleurs affiché un objectif « zéro migrant dans la rue » (Le Parisien, 28/07/2018).

Dans la nuit du 13 au 14 décembre dernier, « Stéphane », SDF et ancien marin de 49 ans, mourait dans un hall d’immeuble à Issoire. « Il est mort un peu comme un chien » avait confié sa fille (La Montagne, 18/12/2018). Cette situation ne peut plus durer.

Non content de poursuivre la déconstruction de notre pays et de notre civilisation, le gouvernement d’Emmanuel Macron semble distinguer les bons et les mauvais pauvres : d’une part, les clandestins qui s’invitent de force dans notre pays, usent et abusent de notre générosité, squattent et profanent nos églises ; d’autre part, les Européens qui crèvent dans l’indifférence générale. Entre deux catégories de miséreux, le pouvoir macronien a fait son choix. Celui de Génération Identitaire est clair : les nôtres avant les autres !

Ce choix, nous allons l’affirmer tout au long de l’hiver à travers notre campagne : « Génération Identitaire – Génération Solidaire ! » que nous effectuons pour la 7e année consécutive. Pendant plusieurs mois, les militants de Génération Identitaire iront aider les SDF partout en France en leur apportant nourriture, café, couvertures et réconfort.

[4] Jeannou Lacaze (Paris Solidarité Métro)  - Libération - 15/02/1995

JEANNOU LACAZE

Le général, ancien chef d'état-major des armées, a décidé d'apporter son soutien à Daniel Hentzé, RMiste et SDF parisien, président de l'association Paris Solidarité Métro, qui veut se porter candidat à l'élection présidentielle. L'engagement d'un ancien militaire aux côtés d'un sans-abri peut paraître surprenant, surtout venant de la part d'un ancien militant du très conservateur Centre national des Indépendants. Mais selon le général Lacaze, « les militaires sont plus sociaux qu'on ne le pense » et, a-t-il déclaré à l'AFP, « j'ai toujours trouvé qu'on n'accordait pas assez d'importance aux sans -abri ». Il a d'ailleurs lancé un appel aux anciens combattants afin qu'ils apportent leur aide aux sans-domicile. Ce dévouement a en tout cas séduit Paris Solidarité Métro, qui vient de désigner le général « président d'honneur » de l'association. « Il nous aide depuis 1992 et a permis aux membres SDF de retrouver leur dignité quel que soit leur passé. »

[5] Hébergement : quand les clandestins concurrencent les sans-abris - Valeurs Actuelles - 17/09/2015

Le délégué général de la fondation Abbé Pierre, Christophe Robert, reconnaît que « Le risque, c'est que l'attention portée sur les réfugiés conduise à oublier les autres ».

La concurrence semble cependant être déjà présente : en juin dernier, une trentaine de sans-abri, logés au centre d’accueil de Nanterre, ont été expulsés afin d’y accueillir des clandestins expulsés d’un camp de Paris. Une mesure qu’a dénoncée la ville des Hauts-de-Seine dans un communiqué.

Plusieurs associations s’étonnent ainsi de la nouvelle capacité des collectivités locales à trouver du foncier pour héberger les clandestins. « On découvre aujourd’hui des capacités d’hébergement inutilisées, qui n’existaient pas hier. Cela nous interroge sur la transparence » indique un responsable.

[6] "Ce parti de gauche opposé à l'immigration qui pourrait tout bouleverser en Allemagne - Jean Louis Thiériot - 21/08/2018

[7] "La gauche ne porte pas la solidarité politique avec les migrants à la source de leur errance" - William Ossipow - Le Monde - 29/08/2018

L’universitaire William Ossipow constate, dans une tribune au « Monde », que la gauche et ses intellectuels n’offrent pas leur aide pour que les projets individuels d’émigration se convertissent en action collective afin que soient transformées, là-bas, les conditions de la vie politique et économique.

[8] 1974 - Valéry Giscard d'Estaing - "Vous n'avez pas le monopole du coeur"

[11] SERVICE PUBLIC - Lieutenant-Colonel de LA ROCQUE - 1934 - Une certaine idée de la France... - 08/12/2018

[a] Loyale hospitalité

« Reste à protéger notre loyale hospitalité contre le déferlement abusif des étrangers venus pour déposséder notre main d’œuvre, transporter parmi nos concitoyens le germe de l’émeute et de la révolution, vicier l’expression de la pensée nationale. Une législation pertinente devrait débarrasser la Métropole des travailleurs arrivés par milliers de l’Europe Centrale, Orientale et demeurant sur notre territoire sans contrats de travail réguliers. De même serait-il nécessaire d’expulser au premier délit de droit commun les réfugiés chez qui l’attitude à l’égard de l’hospitalité française serait plus faite d’arrogance ou de parasitisme que de reconnaissance. De même convient-il, surtout, de réviser le statut des étrangers admis à la naturalisation en rendant plus sévères et plus strictes les formalités et les conditions de leur entrée dans la famille française. Nous nous refusons à établir un classement de nos concitoyens par origine, à partir du moment où celle-ci s’est effacée devant l’unité française, à partir du moment où les hérédités, confessionnelles, ethniques, se sont inclinées devant l’impératif absolu d’un sentiment et de réflexes patriotiques. Ceux-ci ne doivent pas même tenir compte de celles-là. »

[b] «  Notre génie national façonne les races et se les incorpore ; le problème ethnique n’existe pas chez nous. La civilisation gréco-latine exclut la domination des Barbares, ne supporte pas sans déchéance l’invasion des parasites et des mercenaires : la question des étrangers demande une solution rapide et vigoureuse. »

[c] « L’entr’aide civique représente l’essentiel. Elle exige, de ceux qui la pratiquent, « le sens social ». Organiser suivant un cadre prévu et flexible, sans rupture d’équilibre, une incessante montée vers le bonheur matériel, la connaissance intellectuelle, le perfectionnement moral. Faciliter l’ascension des uns, adoucir et enrayer la chute des autres. Assurer aux plus pauvres des conditions de vie satisfaisant aux lois de la dignité humaine, de l’hygiène personnelle et familiale. S’attacher, se lier à cette perpétuelle adaptation comme on protégerait une évolution biologique, en évitant les à-coups et les maladies. Tel est le but.

Le sens social est fait d’intuition, de réflexion, de réalisation et d’amour. Car rien ne se construira de viable, rien de profitable au peuple si l’aide apportée se présente comme un cadeau, non comme un dû. Le pire serait d’y associer la démagogie, la politique. »

[d] Etatisme et œuvres sociales

« L’Assistance publique est un organe d’Etat ; elle est du même coup un refuge pour les déchets du parlementarisme et les électeurs à ménager. De ce fait, elle apparaît trop souvent comme une marâtre impersonnelle, dont les malheureux administrés sont des numéros voués à l’anonymat, à l’abandon, à toutes les déchéances. Pourquoi l’Etat n’abandonnerait-il pas ce monopole, comme les autres ? Pourquoi ne substituerait-on pas à ce monopole des organisations privées, à la fois plus vivantes, plus souples, plus maternelles ? Le contrôle des pouvoirs publics s’exercerait sur elle avec une efficacité accrue. Les progrès moraux et techniques y trouveraient meilleur accès. Et, là aussi, la surenchère électorale n’aurait pas de prise. »

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